Autres champs d’intervention

Sensibilisation aux conduites addictives

Savoir dire NON !

Action de prévention par définition, cette action a pour objectif de faire prendre conscience aux ados que le regard du groupe n’est pas forcément celui que l’on pense; que refuser la 1ère cigarette ou un verre d’alcool n’est pas dévalorisant mais démontre au contraire sa personnalité; qu’accepter par mimétisme permet de se faire accepter est une contre-vérité; que chacun dispose de son propre libre-arbitre et que « dire Non » peut permettre au contraire de s’affirmer!

 

Les différents troubles des apprentissages

L’enfant à haut potentiel intellectuel (HPI) et les différents profils

Entre 2 et 5 enfants sur 100 ont un haut potentiel intellectuel. Un tiers d’entre eux sont en échec scolaire.

En France par exemple, près de la moitié d’entre eux redoublent au moins une classe, 33% sont en situation d’échec et 17 % font des études difficiles.

Des scores élevés sur un test de QI font partie des indicateurs indispensables pour établir un diagnostic de haut potentiel.

 

Les troubles « dys »

Les principaux troubles des apprentissages sont :

– la dyslexie (trouble spécifique de la lecture)

– la dyspraxie (trouble du développement moteur et de l’écriture)

– la dyscalculie (trouble des activités numériques), la dysphasie(trouble du langage oral) et les troubles de l’attention.

Ces troubles sont durables, mais leur prise en charge permet d’améliorer et/ou de compenser les fonctions déficientes.

 

Les difficultés et troubles de l’attention

En classe comme à la maison, on rappelle souvent à l’enfant de « faire attention ».
Par sa demande, l’adulte s’attend le plus souvent à ce que l’enfant améliore la gestion de son comportement, par exemple en augmentant l’exactitude de sa production tout en maintenant une bonne vitesse d’exécution.

Mais pour l’enfant, « faire attention » à ne pas faire de fautes d’orthographes, à ne pas dépasser de la ligne, à retenir la règle qui vient de lui être enseignées, ou ne pas oublier son sac d’école, implique des composantes attentionnelles et de mémorisation bien différente les unes des autres. Ce qui est rarement perçu par les adultes.

Il est donc important de connaître les compétences particulières de l’enfant à pouvoir mobiliser ces différentes composantes d’attention et de mémorisation.
Un enfant peut présenter un simple retard dans l’acquisition et l’utilisation de ces composantes ou bien souffrir d’un réel trouble attentionnel (TDA/H), dont la prise en charge sera différente.

Les bilans cognitifs peuvent contribuer au dépistage de ces troubles.